Force est de constater que je ne tiens pas en place, tout m’anime, tout m’électrise, je ne délaisse pas pour autant mes premiers amours. En juin dernier j’ai lancé un nouveau site internet a mi-chemin entre art et sociologie avec au centre le tatouage. Un tatouage, un tatoué, un tatoueur et moi : la recette est simple. En quelques mois seulement The Tattoorialist a eu un bel engouement, presse traditionnelle et sites web en ont parlé. Site web pour le moment je me pose pourtant la question de transformer The Tattoorialist en recueil photographique, mais bon treve de rêve voici The Tattoorialist.